Merci beaucoup...
Pour répondre J'ai douze calopsittes et ce n'est pas la première volière que je fais
, au fil du temps je me suis aperçu qu'il y avait toujours quelque chose qui n'allait pas soit la taille, soit pas trop pratique ou tout simplement elle ne me plaisait pas
Par expérience il est évident que j'ai mis en évidence les défauts pour enfin trouver la solution idéale et suis arrivé à ce résultat....Qui est faite pour durer dans le temps. Il m'était possible de faire une séparation au milieu de la volière, si j'avais eu deux espèces différentes car cela représentait encore un mètre cinquante de long de chaque côté.
La mise en oeuvre n'a pas été compliqué et me suis contenté d'appliquer mon plan, je l'ai fait pendant mes vacances et cela m'a pris huit jours, donc raisonnable. J'ai effectivement découpé le grillage en fonction des mangeoires.
La partie arrière est faite de planche, j'ai laissé deux carrés grillagés pour laisser un peu plus de lumière et pour aussi prévoir pour plus tard si j'ai la possibilité de la mettre dans la véranda, je n'aurais plus qu'a mettre des plaques isolantes transparentes pour l'hivers...
J'avais une vieille tapisserie que j'ai décollé et j'ai maintenant une nouvelle tapisserie lavable, ce qui est bien pratique, même si j'ai laissé vingt centimètres d'espace entre le mur et la volière, comme ça j'évite les projections. Le sol n'a pas été changé puisque c'est de la moquette, donc un coup d'aspirateur et c'est joué. Il y a forcement des poussières de plumes mais cela reste dans la pièce. Un coup d'aspirateur laveur de temps en temps et hop c'est du neuf
Le coût de la volière est de 260 €, donc pas trop onéreux et surtout je ne regrette pas de l'avoir fait et installé dans cette pièce, un bon compromis quand on n'a pas trop le choix par manque d'espace dans le jardin.
Le seul inconvénient est de ne pouvoir la sortir de la pièce puisque trop grande
donc obligé de la démonter ce qui est facile malgré tout...
Amicalement
Il ne faut pas avoir peur du bonheur. C'est seulement un bon moment à passer.
Romain Gary