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par ahmed77 » 15 oct. 2019 15:32
Oui, pour l'instant elle se débrouille toute seule comme une grande. Je lui ai quand même mis à proximité tout ce qu'il lui faut (eau et nourriture, y compris vivante) car la volière est "trop" grande, le nid était fait "au naturel" dans un arbuste (à vrai dire c'est celui fait par les astrilds ondulées qui se sont faites virer par les amadines) et les mangeoires et abreuvoirs sont un peu loin. ça limitera peut-être ses déplacements. J'espère qu'elle s'en sortira.
Par ailleurs, cette situation soulève un autre questionnement: je me trouve un peu "submergé" par les nidifications et pontes "non progrmmées" et je m'excuse d'avance du terme qui peut paraître froid. Je m'explique: j'ai commencé à peupler la volière depuis 1 mois et demi; c'est une volière extérieure de 70m² bien plantée. J'ai acquis plusieurs espèces d'exotiques becs droits africaines, australiennes et asiatiques. Je m'attendais, vu la période de l'année, que les australiennes entament un cycle de reproduction, ce qui est le cas pour plusieurs couples; et j'ai tout préparé pour que ça se passe bien. Ceux qui me posent "souci", ce sont les espèces africaines qui ont construit des nids au naturel un peu partout dans les arbustes, pondu et qui commencent à couver pour certaines femelles (comme c'est le cas de l'amadine par exemple). Je précise que seul l'abri est isolé de la pluie et des courants d'air avec accès libre via une trappe et que le reste (là où les africains ont nidifié) est à ciel ouvert.
Ce qui m'inquiète, c'est qu'il va bientôt faire froid et que les femelles qui couvent et/ou les petits nés "hors saison" risquent d'en mourir.
Que me conseillez-vous de faire?
Comme par hasard, les australiens ont tous reconnu les nids boite placés dans l'abri et ne sont pas aller s'aventurer à nidifier ailleurs.
Au plaisir
Ahmed