Quand je dis privé, celà veut dire avec des moyens, énergie, outils, pognon PRIVÉS, NON PUBLICS, NE COUTANT RIEN à€ LA COLLECTIVITÉ, AUX INCRÉDULES OU AUX OPPOSANTS. Et qui rapporte effectivement beaucoup: l'espoir (en attendant la certitude) de faire mieux pour nos piafs.
Intérêt des bagues???
Tout ce qui concerne la législation en vigueur.
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Quand je dis privé, celà veut dire avec des moyens, énergie, outils, pognon PRIVÉS, NON PUBLICS, NE COUTANT RIEN à€ LA COLLECTIVITÉ, AUX INCRÉDULES OU AUX OPPOSANTS. Et qui rapporte effectivement beaucoup: l'espoir (en attendant la certitude) de faire mieux pour nos piafs.
Quand je dis privé, celà veut dire avec des moyens, énergie, outils, pognon PRIVÉS, NON PUBLICS, NE COUTANT RIEN à€ LA COLLECTIVITÉ, AUX INCRÉDULES OU AUX OPPOSANTS. Et qui rapporte effectivement beaucoup: l'espoir (en attendant la certitude) de faire mieux pour nos piafs.
Je suis membre de l'Amicale des Eleveurs de Passereaux (AEP), association loi 1901, qui regroupe des éleveurs amateurs et qui a pour but le développement de "l'élevage responsable" qui pour ce faire a mis en place un suivi d'élevage informatisé de type "studbook" (livre généalogique) qui va permettre d'établir,à terme, de véritables "pédigrées" des oiseaux des membres.
Amicalement, Jean-Luc.
volant a écrit :Pourquoi les fédérations agréées pour les émissions de bagues ne mettent -elles pas en place un fichier consultable des numéros d'éleveurs et des références des bagues
Cordialement
En Belgique la loi sur la protection de la vie privée réglemente fortement la création et l'utilisation du fichage de personne.
Donc avoir une liste de bague avec le nom et l'adresse des propriétaires consultable par tous me semble utopique, sauf peut être avec leur accord écrit.
Pour la tracabilité de l'oiseau elle existe mais n'est pas publique.
et pour les oiseaux protégés, les bagues sont répertoriées au misistère et celui ci effectue régulièrement des controles aupres des éleveurs.
Christian
Nom et adresse ? Dans "mon projet", vous extrapolez … Relisez.christian-be a écrit : Donc avoir une liste de bague avec le nom et l'adresse des propriétaires consultable par tous me semble utopique
Pourrai-je en savoir plus (liens ou adresses ou noms … enfin tout moyen de vérifier et étayer) ?christian-be a écrit : Pour la tracabilité de l'oiseau elle existe mais n'est pas publique.
et pour les oiseaux protégés, les bagues sont répertoriées au misistère et celui ci effectue régulièrement des controles aupres des éleveurs.
Modifié en dernier par Raf le 15 nov. 2007 16:36, modifié 1 fois.
Merci. C'est bien dans ce cadre que nous Å“uvrons aussi.Jean-Luc 40 a écrit :Je suis membre de l'Amicale des Eleveurs de Passereaux (AEP), association loi 1901, qui regroupe des éleveurs amateurs et qui a pour but le développement de "l'élevage responsable" qui pour ce faire a mis en place un suivi d'élevage informatisé de type "studbook" (livre généalogique) qui va permettre d'établir,à terme, de véritables "pédigrées" des oiseaux des membres.
Avez-vous porté connaissance de cette initiative aux Fédérations ou au Ministère ? Y a t il un retour quelconque ?
Voila Raf un extrait de la loi.
Section 2. - Conditions d'élevage des oiseaux
Sous-section 1re. - Dispositions communes
Art. 17. Tout oiseau d'élevage doit être bagué au moyen d'une bague formée d'un anneau cylindrique d'une seule pièce et complètement fermé lors de sa fabrication.
Les bagues fermées sont glissées suivant l'espèce, soit au tarse, soit au-dessus du tibia de l'oisillon. Il doit être impossible de les retirer à un stade ultérieur de croissance de l'oiseau sans dommage à celui-ci ou altération des bagues.
Les bagues sont conçues de telle façon que le diamètre ne puisse être modifié ni par voie chimique, ni par voie physique.
Art. 18. § 1er. Les bagues fermées sont délivrées par les groupements agréés.
Toutefois, les parcs zoologiques peuvent poser leur propres bagues fermées.
§ 2. Toute bague fermée délivrée par un groupement agréé porte au minimum un sigle permettant de reconnaître le groupement agréé qui l'a délivrée, une lettre indiquant le diamètre intérieur de la bague, le millésime, et un numéro identifiant l'éleveur qui l'a reçue.
Les parcs zoologiques qui utilisent leurs propres bagues fermées doivent y faire figurer au minimum une lettre indiquant le diamètre intérieur de la bague et un sigle identifiant le parc zoologique.
§ 3. Les groupements agréés communiquent chaque année au Service, pour le 31 mars au plus tard, la liste des éleveurs auxquels des bagues ont été délivrées ainsi que leur adresse et le nombre de bagues délivrées à chacun d'eux.
Les exploitants de parcs zoologiques communiquent chaque année au Service, pour le 31 mars au plus tard, le nombre de bagues fermées qui ont été posées sur des oiseaux détenus par le parc.
Art. 19. Il est interdit de relâcher dans la nature des oiseaux issus de l'élevage.
Sous-section 2. - Des oiseaux d'élevage communément élevés
Art. 20. Le diamètre maximum des bagues des oiseaux d'élevage communément élevés et la lettre indiquant ce diamètre sont fixés à l'annexe II.
Sous-section 3. - Des oiseaux d'élevage non communément élevés
Art. 21. § 1er. Tout éleveur qui détient ou souhaite détenir des oiseaux d'élevage non communément élevés doit se faire connaître auprès de l'ingénieur chef de cantonnement du ressort et mentionner la ou les espèces concernées.
§ 2. L'ingénieur chef de cantonnement ou son délégué se rend chez cet éleveur pour vérifier qu'il dispose des installations adéquates pour pratiquer l'élevage de la ou des espèces concernées, notamment sur base des critères d'éclairage, d'aération, d'hygiène et d'espace disponible suffisament important, proportionnel à la taille des espèces visées et au nombre de spécimens qui vont être élevés.
§ 3. Le cas échéant, l'ingénieur chef de cantonnement transmet à l'éleveur des remarques relatives aux installations.
Dans ce cas, dans le mois qui suit la réception de ces remarques, l'éleveur informe par écrit l'ingénieur chef de cantonnement des mesures prises afin d'adapter les installations selon les remarques formulées.
§ 4. Si l'ingénieur chef de cantonnement estime que ses remarques n'ont pas été rencontrées de manière satisfaisante, celui-ci peut refuser de délivrer la carte d'identification visée à l'article 23.
Art. 22. Le diamètre maximum des bagues des oiseaux d'élevage non communément élevés et la lettre indiquant ce diamètre sont fixés à l'annexe III.
Toute bague fermée délivrée par un groupement agréé ainsi que toute bague fermée utilisée par les parcs zoologiques porte, outre les indications visées à l'article 18, § 2, un numéro d'ordre permettant d'identifier de manière unique chaque bague d'un même diamètre.
Pour l'obtention de bagues en vue de l'élevage d'espèces visées à l'annexe III, l'éleveur doit accompagner sa demande de la carte d'identification prévue à l'annexe IV pour l'espèce ou les espèces concernées.
Art. 23. § 1er. Tout oiseau d'élevage non communément élevé doit être repris sur une carte d'identification dont le modèle est fixé à l'annexe IV.
La carte d'identification est délivrée par l'ingénieur chef de cantonnement du ressort sur demande de l'éleveur.
§ 2. La carte d'identification doit rester constamment en possession du détenteur de l'oiseau d'élevage.
La carte d'identification peut être contrôlée à tout moment par le Service.
Art. 24. Les opérations visées à l'article 2, § 2, 4o, de la loi sur la conservation de la nature ne sont autorisées que si l'oiseau d'élevage non communément élevé est accompagné de sa carte d'identification.
http://environnement.wallonie.be/LEGIS/ ... ons031.htm
Nom et adresse ? Dans "mon projet", vous extrapolez … Relisez.
je crois que cétait une réponse à Volant et non à vous.
Christian
Section 2. - Conditions d'élevage des oiseaux
Sous-section 1re. - Dispositions communes
Art. 17. Tout oiseau d'élevage doit être bagué au moyen d'une bague formée d'un anneau cylindrique d'une seule pièce et complètement fermé lors de sa fabrication.
Les bagues fermées sont glissées suivant l'espèce, soit au tarse, soit au-dessus du tibia de l'oisillon. Il doit être impossible de les retirer à un stade ultérieur de croissance de l'oiseau sans dommage à celui-ci ou altération des bagues.
Les bagues sont conçues de telle façon que le diamètre ne puisse être modifié ni par voie chimique, ni par voie physique.
Art. 18. § 1er. Les bagues fermées sont délivrées par les groupements agréés.
Toutefois, les parcs zoologiques peuvent poser leur propres bagues fermées.
§ 2. Toute bague fermée délivrée par un groupement agréé porte au minimum un sigle permettant de reconnaître le groupement agréé qui l'a délivrée, une lettre indiquant le diamètre intérieur de la bague, le millésime, et un numéro identifiant l'éleveur qui l'a reçue.
Les parcs zoologiques qui utilisent leurs propres bagues fermées doivent y faire figurer au minimum une lettre indiquant le diamètre intérieur de la bague et un sigle identifiant le parc zoologique.
§ 3. Les groupements agréés communiquent chaque année au Service, pour le 31 mars au plus tard, la liste des éleveurs auxquels des bagues ont été délivrées ainsi que leur adresse et le nombre de bagues délivrées à chacun d'eux.
Les exploitants de parcs zoologiques communiquent chaque année au Service, pour le 31 mars au plus tard, le nombre de bagues fermées qui ont été posées sur des oiseaux détenus par le parc.
Art. 19. Il est interdit de relâcher dans la nature des oiseaux issus de l'élevage.
Sous-section 2. - Des oiseaux d'élevage communément élevés
Art. 20. Le diamètre maximum des bagues des oiseaux d'élevage communément élevés et la lettre indiquant ce diamètre sont fixés à l'annexe II.
Sous-section 3. - Des oiseaux d'élevage non communément élevés
Art. 21. § 1er. Tout éleveur qui détient ou souhaite détenir des oiseaux d'élevage non communément élevés doit se faire connaître auprès de l'ingénieur chef de cantonnement du ressort et mentionner la ou les espèces concernées.
§ 2. L'ingénieur chef de cantonnement ou son délégué se rend chez cet éleveur pour vérifier qu'il dispose des installations adéquates pour pratiquer l'élevage de la ou des espèces concernées, notamment sur base des critères d'éclairage, d'aération, d'hygiène et d'espace disponible suffisament important, proportionnel à la taille des espèces visées et au nombre de spécimens qui vont être élevés.
§ 3. Le cas échéant, l'ingénieur chef de cantonnement transmet à l'éleveur des remarques relatives aux installations.
Dans ce cas, dans le mois qui suit la réception de ces remarques, l'éleveur informe par écrit l'ingénieur chef de cantonnement des mesures prises afin d'adapter les installations selon les remarques formulées.
§ 4. Si l'ingénieur chef de cantonnement estime que ses remarques n'ont pas été rencontrées de manière satisfaisante, celui-ci peut refuser de délivrer la carte d'identification visée à l'article 23.
Art. 22. Le diamètre maximum des bagues des oiseaux d'élevage non communément élevés et la lettre indiquant ce diamètre sont fixés à l'annexe III.
Toute bague fermée délivrée par un groupement agréé ainsi que toute bague fermée utilisée par les parcs zoologiques porte, outre les indications visées à l'article 18, § 2, un numéro d'ordre permettant d'identifier de manière unique chaque bague d'un même diamètre.
Pour l'obtention de bagues en vue de l'élevage d'espèces visées à l'annexe III, l'éleveur doit accompagner sa demande de la carte d'identification prévue à l'annexe IV pour l'espèce ou les espèces concernées.
Art. 23. § 1er. Tout oiseau d'élevage non communément élevé doit être repris sur une carte d'identification dont le modèle est fixé à l'annexe IV.
La carte d'identification est délivrée par l'ingénieur chef de cantonnement du ressort sur demande de l'éleveur.
§ 2. La carte d'identification doit rester constamment en possession du détenteur de l'oiseau d'élevage.
La carte d'identification peut être contrôlée à tout moment par le Service.
Art. 24. Les opérations visées à l'article 2, § 2, 4o, de la loi sur la conservation de la nature ne sont autorisées que si l'oiseau d'élevage non communément élevé est accompagné de sa carte d'identification.
http://environnement.wallonie.be/LEGIS/ ... ons031.htm
Nom et adresse ? Dans "mon projet", vous extrapolez … Relisez.
je crois que cétait une réponse à Volant et non à vous.
Christian
Christian-Be
Votre réponse ne me satisfait aucunement: vos arguments concernent la Belgique , mais dites-moi comment cela se passe en France!
Il n'y a , pour s'en convaincre, que de constater qu'il est impossible actuellement de savoir à qui appartient un perroquet bagué échappé...même lorsque l'on s'adresse aux services départementaux ou encore aux gendarmes ...(Cf les posts sur divers forums relatifs aux perroquets envolés)
Par ailleurs, je veux bien entendre parler d'autorisation de l'éleveur ...mais lorsqu'il cède un oiseau, il est censé indiquer ses références et le numéro de bague.Alors où est le problème qui fasse que les fédérations ne mettent pas un répertoire de leurs adhérents avec le numéro STAM ? Les éleveurs auraient-ils honte d'être éleveurs? NON alors, ne jouons pas les vierges effarouchées...Les fédérations ont-elles peur d'indiquer leur nombre d'adhérents? A l'intérieur d'une même association,en principe, il est de bon ton de savoir quels en sont les adhérents.Eh bien jouons la transparence .Ce sera bénéfique pour tout le monde...Mais ce n'est que mon avis...
Cordialement
Votre réponse ne me satisfait aucunement: vos arguments concernent la Belgique , mais dites-moi comment cela se passe en France!
Il n'y a , pour s'en convaincre, que de constater qu'il est impossible actuellement de savoir à qui appartient un perroquet bagué échappé...même lorsque l'on s'adresse aux services départementaux ou encore aux gendarmes ...(Cf les posts sur divers forums relatifs aux perroquets envolés)
Par ailleurs, je veux bien entendre parler d'autorisation de l'éleveur ...mais lorsqu'il cède un oiseau, il est censé indiquer ses références et le numéro de bague.Alors où est le problème qui fasse que les fédérations ne mettent pas un répertoire de leurs adhérents avec le numéro STAM ? Les éleveurs auraient-ils honte d'être éleveurs? NON alors, ne jouons pas les vierges effarouchées...Les fédérations ont-elles peur d'indiquer leur nombre d'adhérents? A l'intérieur d'une même association,en principe, il est de bon ton de savoir quels en sont les adhérents.Eh bien jouons la transparence .Ce sera bénéfique pour tout le monde...Mais ce n'est que mon avis...
Cordialement
Volant
RAF a écrit :
"Merci. C'est bien dans ce cadre que nous Å“uvrons aussi.
Avez-vous porté connaissance de cette initiative aux Fédérations ou au Ministère ? Y a t il un retour quelconque ?[/quote]"
C'est une initiative privée parce qu'il n'existe pas de service public et j'ignore si les dirigeants de l'association en ont référé aux autorités.
"Merci. C'est bien dans ce cadre que nous Å“uvrons aussi.
Avez-vous porté connaissance de cette initiative aux Fédérations ou au Ministère ? Y a t il un retour quelconque ?[/quote]"
C'est une initiative privée parce qu'il n'existe pas de service public et j'ignore si les dirigeants de l'association en ont référé aux autorités.
Amicalement, Jean-Luc.
travaillant en France dans une animalerie j'ai effectivement le problème de la traçabilité des oiseaux que nous vendons.
en effet, même si nous enregistrons nos oiseaux annexés (principalement de psittacidés non domestique EAM) sur le registre d'entrée et de sortie, et que nous fournissons un certificat de cession lors de chaque vente, cela ne permet en aucun cas finalement de suivre l'animal lors d'une perte ou d'un vol...
la législation française n'est pas facile a suivre.
Peut-on réellement obliger un éleveur, ou tout du moins un grossiste pour les animaleries (pardonnez moi l'expression), à baguer tous ses oiseaux.
le baguage des EAM est bien suivis mais les autres oiseaux c'est pas vraiment ça.
j'ai demandé aux services vétérinaires le texte de loi nous obligeant en fin de compte a vendre des oiseaux 100% identifiés...
j'attend toujours la réponse et ceci depuis 6 mois...
je crois que par sécurité il est judicieux que les propriétaires d'oiseaux EAM en annexe, qui sont donc identifiés par bague, soit déclaré auprès d'un vétérinaire. cela permettrait peut être de faire comme pour les chiens et les chats, c'est a dire de créer un fichier solide sur l'identification des oiseaux en annexes.
A ma connaissance un tel fichier n'existe pas encore en France, corrigez moi si je me trompe
en effet, même si nous enregistrons nos oiseaux annexés (principalement de psittacidés non domestique EAM) sur le registre d'entrée et de sortie, et que nous fournissons un certificat de cession lors de chaque vente, cela ne permet en aucun cas finalement de suivre l'animal lors d'une perte ou d'un vol...
la législation française n'est pas facile a suivre.
Peut-on réellement obliger un éleveur, ou tout du moins un grossiste pour les animaleries (pardonnez moi l'expression), à baguer tous ses oiseaux.
le baguage des EAM est bien suivis mais les autres oiseaux c'est pas vraiment ça.
j'ai demandé aux services vétérinaires le texte de loi nous obligeant en fin de compte a vendre des oiseaux 100% identifiés...
j'attend toujours la réponse et ceci depuis 6 mois...
je crois que par sécurité il est judicieux que les propriétaires d'oiseaux EAM en annexe, qui sont donc identifiés par bague, soit déclaré auprès d'un vétérinaire. cela permettrait peut être de faire comme pour les chiens et les chats, c'est a dire de créer un fichier solide sur l'identification des oiseaux en annexes.
A ma connaissance un tel fichier n'existe pas encore en France, corrigez moi si je me trompe
la vie animale est précieuse...