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par maurice » 09 déc. 2022 20:58
Bonjour,
J'écarterai déjà les petites espèces africaines vu que l'abri n'est pas prévu hors gel. Certains diront "ils peuvent tenir", mais n'est-il pas préférable de leur offrir un certain confort plutôt que de les confronter à des conditions trop "limites" ? Contrairement aux diamants australiens domestiqués depuis beaucoup de générations (hecq, gould, gouttelette...), les africains le sont plus récemment, ce qui les rend bien moins rustiques face aux températures françaises et à l'humidité hivernale. Donc, j'éviterai cap bleu, cordon bleu, amaranthe.....De plus, la majorité risque de dormir dehors et pas dans l'abri, ce qui justifie de couvrir au moins une partie de la zone extérieure, en cas de pluie nocturne par exemple .
Pour les habituer à dormir à l'abri, il faudrait que les perchoirs abrités soient plus hauts que ceux de l'extérieur. Comme les oiseaux recherchent les endroits hauts perchés pour dormir, ça fonctionne plutôt bien.
Les espèces indigènes en mutation ne nécessitent pas d'être capacitaire et certaines sont assez "faciles" : le sizerin cabaret par exemple ou le verdier d'Europe.
En fringillidés américains, le tarin de Magellan, les cardinaux et le roselin du Mexique.
Le rossignol du japon a été cité, mais il fait l'objet du fichier Ifap .
On peut ajouter les colombes diamants.... et les canaris. Bien entendu, la liste est -presque- sans limites, tout dépend ensuite des disponibilités du moment.
Ne pas oublier que sur cette surface, un seul couple de chaque espèce évite les bagarres entre mâles.
Bonnes recherches !
Maurice