Pour ne parler que de ce dont je suis sûr, j'ai par deux fois l'année dernière fourni des oiseaux à une animalerie de ma ville (becs droits), en les "troquant" contre des graines à prix "avant coef" (sur le conseil d'un ami qui le fait assez souvent
)...
Pas de factures, pas d'argent, les sacs de 25 kg en question ayant été déclarés endommagés et "inaptes à la vente" au grossiste (ça, je l'ai appris plus tard), car celui-ci avait la faiblesse de ne pas demander qu'on lui retourne les sacs soit disant défectueux....
Donc, entre la théorie et les faits, les variations sont nombreuses.
Pendant mes études, pôur les financer, j'ai travaillé en tant que chef de rayon sur une surface de vente de 900 m2, avec à l'époque pour 5 millions de francs de matos en inventaire.
Le "vivant" (qui incluait poissons exotiques et marins, oiseaux et rongeurs), ne représentait (en 1995-1996) que 20% du chiffre, comme le dit Canari.
Ce qui est réellement rentable, c'est "l'inerte" : les équipements, la nourriture, les produits de maintenance et sanitaires.
A l'époque, nous ne fonctionnions que sur facture avec des fournisseurs "labellisés" (pour les oiseaux, "l'Oisellerie du Temple", à l'ïle d'Abbeau, que les rhôdaniens connaissent
, mais je savais que ce n'était pas le cas de tout le monde...
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