Nos volières

moi j'ai fait les deux
certain sont partis à  la poubelle d'autre enterrés

attention a la poubelle s'ils remontent jusqu'a vous ça peu couter tres cher

vous faites bien de le dire je ne le ferais plus
je ne suis pas radin mais je préfere garder mes sous plutot qu'une amende (ou en racheter d'autre )

sebbaco sage decision: surtout que c'est tres facile un petit bidon en fer un peu de paille et le tour est jouer, en effet vaut mieux garder ses sous pour en racheter un autre

Je me permet un message juste d'appréciation.
Je trouve ce post très intéressant.
C'est vrai que je fais les 2 en fonctions du poids des oiseaux, du jour du décès et de la relation avec l'oiseau.
Mais à  partir de maintenant, je vais faire autrement

Bonsoir!
La prédation des chats du voisinage fut la cause majeure du décès des miens. De ce fait, je n'ai eu qu'à  de rares reprises l'occasion de récupérer mes morts.. (Le plus dur, c'était d'imaginer que leur corps mutilé traînait peut être sous un buisson, voire dans la poubelle de leur propriétaire. Morts sans être consommés; morts pour rien..)
Sinon, en fonction de l'attachement que je leur portais et de leur dernier état de santé, j'agis différemment:
Ceux avec lesquels j'étais très attachés, je les enterre à  une cinquantaine de centimètres de profondeur, dans un coin du jardin, puis les recouvre d'une pierre en guise de tertre, ou d'une plante de faible taille maxi, ou d'un mini massif de fleurs.
Les cadavres à  risque, je les incinère.
Les autres, je les abandonne à  même le sol, dans le terrain vague à  la lisière du bois à  deux pas de chez moi, afin qu'ils contribuent à  la pitance des diverses bouches de la nature.

salu a toi , tu n'a jamais pensée a mettre un doble grillage ?

ça empéche les prédateurs de prendre tes oiseaux .

salutation

nocturne

Salut Nocturne,
J'ai un peu de honte à  l'avouer (juste une pincée) mais ce n'est pas dans leur cage-volière qu'ils ont été la proie des chats. L'élevage en semi-liberté a des avantages mais aussi pas mal d'inconvénients niveau sécurité...
Enfermés, on peut qualifier nos compagnons de protégés; libérés, même sous surveillance, ils deviennent semi-protégés...
J'ai toujours assumé mon choix de les laisser régulièrement flâner et s'ébattre hors de leur quatre-murs pas bien grand _ d'où mon "juste une pincée" de remords.
Je ne suis victime que de mon propre choix... et mes oiseaux aussi... Et c'est surtout ce dernier point qui m'a beaucoup troublé, qui a ébranlé mes convictions sur l'attitude à  adopter pour le bien-être de mes oiseaux et qui aujourd'hui me fait hésiter à  élever de nouveaux individus en extérieur. Quelle frustration!!!...