Re: gould
Posté : 17 janv. 2012 12:51
moi j'en ai eu d'un ami éleveur qui l'avait acheté il y a quelque année lui aussi. Cela m'interresserait aussi d'avoir des réponses à ta question.
je l'espère mais je n'en suis pas surzozio auvergnat a écrit :Bonsoir Jeff
En final, nous espérons tout d'abord vivevement que ta femelle soit repartie du bon pied ou bonne ailes, mais pourrais tu nous communiquer , en résumé? ce que tu as fait pour elle, de la phase de découverte du problème à son rétablissement ? Et est-ce que l'origine de l'incident a été trouvée ?
Merci par avance.
Tes quelques lignes d'écritures sont susceptibles de sauver bon nombre d'autres oiseaux.
c'est ce que mon père me répète avec les oiseaux en exterieur. J'ai déjà voulu leur mettre du chauffage plusieurs fois mais il m'a dit que si je commence ça, j'aurais perdu l'affaire d'avance et que je ne pourrais jamais revenir en arrière. Aujourd'hui ils sont avec du -6 la nuit sans aucun chauffage et se porte a merveille. Il m'a aussi dit qu'il faut savoir accepter les pertes et que c'est comme ça que l'on arrive à quelque chose. celà fait 40 ans qu'il élève des pigeons voyageurs et a été champion de france. Biensur certain diront que les pigeons ne sont pas des exotiques et je suis d'accord avec eux mais l'expérience est bonne à prendre de partout.zozio auvergnat a écrit :Un petit remède préventif pour les accariens qui se propagent dans la gorges de certains exotiques comme les amadine cou-coupé et gould.
En septembre, période propice à la profilération de ces nuisibles, il faut saupoudrez les graines sèches avec du CARBARYL ou assimilé pour ceux qui connaissent. Le gould ne mange pas la coquille, mais le temps qu'il met ç faire tourner la graine dans son bec pour en retirer la membrane, suffit à lui procurer assez de "désinfectant".
Je pense qu'en faisant cela 3 jours durant avant l'automne chaque année, est une bonne prévention. Cela fonctionne chez moi, mais il se peut que, sous d'autres climats (Sud ou nord de la France, taux d'humidité ou avancée ou retard des saisons, la période de traitement puisse être différente.
Je ne penses pas que cette femelle représentera systématiquement le même syndrome ultérieurement. Certains estimes qu'il existe des souches fortes et d'autres plus faibles, mais dès que l'oiseau est déplacé, il ne faut pas trop tenir compte de ses aptitudes à combattre certaines maladies.
27 ans avec les gould, 30 couples en repro à cette heures, un bon fond de volière de réserve et portant j'ai subit de terribles "casses" et aujoud'hui, j'estime que mon savoir sur cet oiseau est de 1,1 %, sachant que ce chiffre n'est pas sûr d'évoluer, chaque jour on apprend quelque chose de plus sur un oiseau, en bien ou en mal et que finalement, on oublie les règles de base : La loi de la nature.