Nos volières

Pour argumenter mes commentaires sur la forme du masque de deux oiseaux similaires

Les couleurs du bec possibles :

Il est a noter qu'il y a une vingtaine d'année en France, le standard du diamant de gould tête orange orientait les éleveurs vers une tête la plus jaune possible. Il y avait une classe à  l'UOF dénommée Tête jaune au lieu de tête orange.
Certains, mais peu d'éleveurs ont travaillé pour se rapprocher au plus près de cette couleur de tête jaune mais ce fut un échec et il y a donc eu retour à  l’appellation tête orange.

La couleur orange est effectivement un couleur secondaire placée entre le rouge et le jaune. Si elle se maitrise scientifiquement, il n'en est pas de même génétiquement chez le diamant de Gould.


Pour le fun : photo technique ci dessous
C'est un cas apparu chez un éleveur Portuguais (si je ne me trompes). Il y a eu deux ou trois spécimens mais cette variante n'a pû être maitrisée et n'a pas donné souche.

La couleur tête de velours.
Ainsi est donnée l’appellation à  cette couleur mélangeant le rouge et le noir ou l'orange est le noir.

Ce n'est pas un bon oiseau dans un élevage. Il s'agit d'une déficience du marquage de la coloration initiale (rouge ou orange). Cette faute grave est transmissible .
Sanction importante en jugement.

Je viens de mettre la main sur une photographie d'un diamant de gould bleu à  tête rouge d'où j'ai extrait la tête de cet oiseau qui présente une grave déformation du masque de tête.

Dans ce cas, il n'y a plus grand chose à  faire, même en accouplant avec des têtes noires uniquement, je crois qu'il faudra 172 générations pour un retour à  la normale.

Merci pour ces infos imagées.

J’avais déjà  imprimés les standards des gould sur le site de L’UOF, je viens également d’imprimer les feuilles de jugements. Je pense que c’est un bon moyens de m’amélioré, en observant sur ces oiseaux et en tout modestie de juger les bons et les fautes de ces propres oiseaux.

Je me souviens lorsque nous organisions des expos, j’aimais pour la variété que j’élevais, passé les cages d’expos sur la table du ou des juges .C’est là  ou j’ai appris et amélioré le plus sur les paddas. A la fin du jugement certains juges sous mes questions me donnaient leurs pourquoi de ces jugements. Leurs explications étaient une réel mines d’informations car il est quelques fois difficile de lire et de comprendre les feuilles de jugement et une question amène quelques fois à  une autre et pourvoir comparer différents individus sous les yeux d’un juge est un réel bonheur.

Merci pour ce partage .

joe gould 60 a écrit : Je me souviens lorsque nous organisions des expos, j’aimais pour la variété que j’élevais, passé les cages d’expos sur la table du ou des juges .C’est là  ou j’ai appris et amélioré le plus sur les paddas. A la fin du jugement certains juges sous mes questions me donnaient leurs pourquoi de ces jugements. Leurs explications étaient une réel mines d’informations car il est quelques fois difficile de lire et de comprendre les feuilles de jugement et une question amène quelques fois à  une autre et pourvoir comparer différents individus sous les yeux d’un juge est un réel bonheur.
Merci pour ce partage .

Vous avez trouvé le bon filon pour apprendre à  décrypter les défauts de vos oiseaux en assistant un juge .
Je penses que les juges experts doivent aller au delà  en matière d'information des éleveurs. Le jugement est toujours sous pression, un nombre d'oiseaux conséquent à  faire chaque jour, ce qui ne leur permet pas de s'étendre.
Pour pallier à  cet inconvéniant, il y a deux solutions
Organiser des journées techniques, mais là  aussi, si on parle exo à  bec droits ou crochus, suivant le nombre d'éleveurs présents, il sera difficile de s'attarder sur une espèce et la décortiquer de A à  Z. vu les diversités.
La seconde solution; qui n'existe pas encore mais devrait être tentée cette année : le juge dit tout haut ce qu'il pense en examinant les oiseaux sur un concours. C'est un travail d'adresse qui méritera certainement de l'expérience mais qui devrait être des plus bénéfiques.
Je connais au moins un juge expert en bec droit qui s'emploi actuellement à  tenter cette forme de communication.

bonjour zozio

c'est vrai que pour voir les défauts des oiseaux c'est pas facile pour les juges de tout détailler ,dans un petit concours je trouve qu'il note beaucoup ce qui ne vas pas ,mais au championnat de france ,le temps leur manque trop d'oiseaux à  juger comme vous le dite , je crois dèjà  il faut faire une différence entre un débutant et un éleveur confirmé pour faire des journées techniques ,le débutant va rien comprendre dans les mutations s'il n'a pas la base ,autrement faire des ateliers becs droits en plusieurs sessions idem pour les becs crochus au niveau de l'association et les éleveurs confirmés ,je vous donne mon point de vue à + marie jo

Il existe aussi une troisième solutions, ce que vous avez fait le biais de vos réponses sur ce forum sur des cas bien précis.

Il est sur que t'organiser des journées technique, d'avoir des juges, des participants comme le précise Mari-jo du même niveau est difficile à  rassembler. Des questions doivent arriver de tout coté.

Merci pour l'info concernant les têtes de velours.

@+josé