Nos volières

bonjour à  tous,


Je suis claudine, nouvelle venue.Qui pourrai me dire si l'on peut (et comment) relacher une pie en volière depuis 2 ans.Je suis en zone pavillonnaire, mais je peux le faire dans un bois à  proximité.je suis en seine et marne,mais trouvera t-elle sa nourriture. merci par avance(elle était petite
quand je l'ai eue)

Salut;
Si tu la relaches elle va vite se faire attraper par un chat car elle n'a pas l'instinct de survie. Enfin, moi c'est ce que j'en dit...

Bonjour,

Je suis d'accord avec la réponse que Dédé: une pie qui n'a jamais connue la liberté ne se relache pas comme cela; il faut l'habituer très progressivement et cela seul les centre spécialisé sont apte à  le faire du moins à  mon avis ...

A+
SéB

A mon avis tu devrai demander l'avis d'un véto parce que c meme pa sur qu'elle arrive a ce nourir toute seule....en plus elle va vite se fatigué car elle na pa beaucoup d'endurance ce qui facilite la tache des predateurs, ou encore demande avis a une animalerie a+ TONIO

Merci a tous qui m'avez répondu au sujet de la pie.finalement elle est toujours là  en plus grande volière et ça va bien !

elle est aprivoisé ou sauvage?

Le retour a la nature d'un oiseau européen détenu en volière peut se faire par la technique du "Taquet".

cela consiste a ouvrir la volière et à  continuer nourrir l'oiseau a l'intérieur. Il explorera son nouveau territoire de jour en jour pour peut être rencontrer d'autre congénères qui finiront par l'attiré loin de sa volière.

la technique marche très bien pour les animaux sauvages après une période dans un centre de soins spécialisé.

guarouba a écrit :Le retour a la nature d'un oiseau européen détenu en volière peut se faire par la technique du "Taquet".

cela consiste a ouvrir la volière et à  continuer nourrir l'oiseau a l'intérieur. Il explorera son nouveau territoire de jour en jour pour peut être rencontrer d'autre congénères qui finiront par l'attiré loin de sa volière.

la technique marche très bien pour les animaux sauvages après une période dans un centre de soins spécialisé.

un peu comme le pigeon , sauf que le pigeon ne s en va pas .

.
Bonjour,

Cette technique fonctionne si l'oiseau à  été élevé dés ses premiers jours ( ce qui est interdit, je le rappel, pour la majorité des oiseaux de la faune sauvage) mais s'il a été récupéré plus agé et qu'il n'y a pas imprégnation, l'oiseau s'enfuit une fois la voliere ouverte et on ne le revoit plus.
Dans ces conditions ses chances de survit sont tout à  fait minimes.

Cdlt
Dominique

Le désire de Claudine est de relâcher la pie donc de ne plus la voir.
La technique du Taquet fonctionne parfaitement bien et SURTOUT sur des oiseaux ou animaux non imprégnés, je passe mon temps a le faire avec d'excellent résultat.

Les oiseaux de la faune européenne ne sont plus interdit a la détention s'il sont née et élevés en captivité (juste pour rappel)

Salut Garouba, penses à  regarder la date des derniers post, celui ci date de 2006 ...depuis le temps Claudine à  surement trouvée la solution.

Et les oiseaux de la faune européenne ne sont pas libres de détentions, même si nés et élevés en captivité... il faut un CC ou au minimum une APD.

guarouba a écrit : La technique du Taquet fonctionne parfaitement bien et SURTOUT sur des oiseaux ou animaux non imprégnés, je passe mon temps a le faire avec d'excellent résultat.

En fauconnerie et avec un process précis (et plusieurs oiseaux de préférence), effectivement celà  fonctionne mais avec les passereaux de nos jardins c'est différent.
Maintenant si tu le réussi, c'est trés interessant et celà  suppose certainement une méthodologie adaptée que tu pourrais peut être nous détailler.

Cdlt
Dominique

technique très simple adapter a tout les animaux
ils sont nourris dans la volière ou le parc qui leur sert de lieu de détention, parc ou volière préalablement ouvert.
ils coloniseront petit a petit leur nouveaux territoire tout en continuant a venir se nourrir dans la volière. un jour il ne revienne plus il se sont émancipés

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Bonjour,

Celà  suppose donc, comme en fauconnerie je crois, de débuter avant que l'oiseau ne sache voler ?
Car si tu ouvres la voliere aprés on ne le revoit plus (expérience de quelques sauvetages durant ma prime jeunesse).
Reste le problème de la prédation .

Cdlt
Dominique

le problème de la prédation ne se pose pas dans le cas d'une pie.

La méthode du taquet (dans le cas de la réintroduction des vautour)

Cette technique concerne de jeunes oiseaux nés en captivité dans des parcs zoologiques. A l’âge de 80 - 90 jours, lorsque leur plumage est suffisamment développé pour les protéger des intempéries et qu’ils sont capables de manger seul, ils sont alors placés à  deux minimum sur une aire de nidification artificielle (aux dimensions d’une construction naturelle) sur une vire. L’apport de nourriture et d’eau se fait de nuit pour éviter tout contact avec l’être humain. Le site choisi doit être situé sur une zone où évoluent des congénères ou d’autres espèces de vautours et isolé de tout dérangement. La vire doit être suffisamment en hauteur afin de permettre un envol facile. Il est souhaitable qu’il n’y ait pas une végétation dense sous le site afin que les jeunes vautours moines puissent redécoller s’ils échouent lors du premier envol. Pendant toute la durée de leur séjour au nid, les jeunes doivent être surveillés de l’aube au coucher du soleil afin de prévenir tout incident.

guarouba a écrit :le problème de la prédation ne se pose pas dans le cas d'une pie.

Certes mais, rappel toi, j'évoquai là  le cas de passeraux (cas le plus fréquent dans nos jardins)

guarouba a écrit :La méthode du taquet (dans le cas de la réintroduction des vautour)

Cette technique concerne de jeunes oiseaux nés en captivité dans des parcs zoologiques. A l’âge de 80 - 90 jours, lorsque leur plumage est suffisamment développé pour les protéger des intempéries et qu’ils sont capables de manger seul, ils sont alors placés à  deux minimum sur une aire de nidification artificielle (aux dimensions d’une construction naturelle) sur une vire. L’apport de nourriture et d’eau se fait de nuit pour éviter tout contact avec l’être humain. Le site choisi doit être situé sur une zone où évoluent des congénères ou d’autres espèces de vautours et isolé de tout dérangement. La vire doit être suffisamment en hauteur afin de permettre un envol facile. Il est souhaitable qu’il n’y ait pas une végétation dense sous le site afin que les jeunes vautours moines puissent redécoller s’ils échouent lors du premier envol. Pendant toute la durée de leur séjour au nid, les jeunes doivent être surveillés de l’aube au coucher du soleil afin de prévenir tout incident.

Vi, celà  rejoins ce que je disai plus haut sur la fauconnerie mais celà  nous éloigne des cas que nous rencontrons le plus frequemment dans nos jardin.
Je suppose que la méthode peu être transposée à  ceci près qu'on a pas toujours deux oiseaux (heureusement !) et qu'on ne peu pas toujours assurer une alimentation nocturne ni une surveillance du lever au coucher du soleil !
Donc..pas fastoche ! (sauf pour un centre de sauvetage, d'ou nos préconisations qui dailleurs rejoignent la réglementation )

Cdlt
Dominique

j'ai pas compris le sens de ta dernière phrase??

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Je résumais en disant qu'entre la prédation et le temps considérable que suppose cette méthode (si on transpose ce que tu décris pour les rapaces) ce type de sauvetage est plus accessible à  un centre sauvetage qu'au simple ramasseur d'oisillon( tombé d'un nid) qu'il nous arrive d'être occasionnellement.
Et de plus la réglemention nous impose de toute façon d'amener dans ces centres les oiseaux trouvés.
Voili

Cdlt
Dominique

ok ok

Je pense que la meilleure technique pour ces oiseaux reste les centres adaptés (à  Toulouse, l'école vétérinaire!). Ils ont d'immenses volières et très progressivement rendent les oiseaux détenus autonomes... Dans le cas d'une pie, faut-il encore qu'ils veuillent le faire!!