Chasse: piéges à pierres authorisées
Posté : 10 sept. 2006 15:52
L’arrêté du 7 NOVEMBRE 2005 autorise l’application des « tendelles » pour la capture des grives et des merles.
Les tendelles sont des pièges archaiques constitués d'une pierre placée en équilibre sur des bâtonnets sous lesquels sont offertes des baies de genièvres aux oiseaux qui, venant s'y nourrir, déclanchent le dispositif et se trouvent écrasés par la chute de la pierre.
A noter que
L’article 8 de la directive CEE 79409 prohibe les modes de chasse non sélectifs et l’annexe 4 de la directive énumère des procédés de chasse interdits en Europe. Les pièges sont mentionnés au titre des procédés prohibés de destruction des oiseaux.
Des derogations ne sont autorisées que lorsque n’existe aucune autre solution satisfaisante permettant l’exploitation judicieuse de petites quantités d’oiseaux ».
Cette decision paraît difficile à comprendre vu que de telles dispositifs ne peuvent que fonctionner d’une manière non selective et vont donc inévitablement détruire des diverses ecpèces protégées voire des ecpèces en voie d’extermination. L’obligation de munir les pièges d’ « échappatoires d'au moins 30 mm de diamètre » n’est qu’une imposture pour contourner le droit européen qui prohibe les procédés non sélectifs de destruction des oiseaux
Les tendelles sont des pièges archaiques constitués d'une pierre placée en équilibre sur des bâtonnets sous lesquels sont offertes des baies de genièvres aux oiseaux qui, venant s'y nourrir, déclanchent le dispositif et se trouvent écrasés par la chute de la pierre.
A noter que
L’article 8 de la directive CEE 79409 prohibe les modes de chasse non sélectifs et l’annexe 4 de la directive énumère des procédés de chasse interdits en Europe. Les pièges sont mentionnés au titre des procédés prohibés de destruction des oiseaux.
Des derogations ne sont autorisées que lorsque n’existe aucune autre solution satisfaisante permettant l’exploitation judicieuse de petites quantités d’oiseaux ».
Cette decision paraît difficile à comprendre vu que de telles dispositifs ne peuvent que fonctionner d’une manière non selective et vont donc inévitablement détruire des diverses ecpèces protégées voire des ecpèces en voie d’extermination. L’obligation de munir les pièges d’ « échappatoires d'au moins 30 mm de diamètre » n’est qu’une imposture pour contourner le droit européen qui prohibe les procédés non sélectifs de destruction des oiseaux
