Nos volières

bonjour a tous

Voila j'ai une voliére exterieur de taille résonable 6m l sur 3 sur 2 de h mais je vien de m'appercevoir qu'rapace que je n'ai pas pus identifier tourne réguliérement autour de celle ci comment le faire partir il a déja provoquer la mort d'un de mes inseparable dans la panique qu'il provoque merci a vous

Bonsoir!
Comme c'est interdit de tirer dessus (et çà  serait dommage!), je pense que la seule solution est de couvrir en majeure partie le toit de ta volière avec du canisse ou autre afin que tes oiseaux se sentent plus protégés.
C'est normal qu'ils aient peur! Et ils se sentent tous de très loin! Il y a aussi les chouettes qui peuvent attaquer les volières la nuit....Mais c'est une histoire!!

Un miroir, un objet en aluminium, enfin tout ce qui peut réfléchir la lumière ou permettre au prédateur de ce voir dedans fonctionne bien, l'oiseau croyant voir un congénaire rival, ... mais seulement pendant un court moment (pas si bête l'animal).

Si c'est un rapace, il est probablement nocturne ?

Avec un rapace nocturne, le meilleur truc est un projecteur orienté vers le ciel et qui s'allume automatiquement à  la brunante (il n'a pas besoin d'être très puissant). L'oiseau qui se promène haut dans le ciel ne peut voir les oiseaux d'en bas.....
C'est un truc que j'ai exploité pendant plusieurs années lorsque j'avais des Tadorne de Belon (des canards d'exposition) en liberté sur ma pelouse. Après que le rapace (un Grand Duc probablement, selon des éleveurs) eut mangé un oiseau par soir ...... J'ai installé un "spot" de 150w dirigé vers le ciel et je n'en ai plus jamais perdu un seul ..... jusqu'à  l'arrivée de ratons-laveurs !!!!! J'ai alors cessé de me battre !"/$%?&*!!!
Frangris

merci pour les reponse mais pour info il s'agit d'un rapace diurne type buse ou epervier je ne les pas bien vu mais la panique dans la voliere etait total.
ma voliere et a moitier en batiment dur l'autre partie exterieur est grillagé j'avais déja a l'epoque pensé au renards et blaireaux donc le sol et trés protégé mais jamais je n'avais pensé aux rapaces