Zoreyleroz présentation
Posté : 26 mai 2010 00:33
J’ai mis un peu de temps à trouver où c’était, mais voilà .
Alors :
J’ai la quarantaine et ai toujours été entouré de toutes sortes de bestioles aussi loin que je me souvienne … entre autres, d’avoir ramené une oie du Périgord vers 7-8ans qui faisait un tabac lors de la pause abreuvage sur les stations d’autoroute. J’ai hébergé aussi un gris du Gabon une quinzaine d’années, mort d’infarctus. Divers autres bec crochus ... les oiseaux, c’était plutôt le truc des parents. Mais mon hobby à moi, ce fut longtemps et surtout l’aquariophilie.
Marié par la suite à une vétérinaire brésilienne ayant travaillé dans le milieu avicole, il m’est toutefois difficile d’échapper aux psittacidés. Pour la raison qu’on en a chez nous (au Brésil), et des collègues travaillant avec dans le cadre de programmes fédéraux de protection/réintroduction. Un beau parc-expo accessible, lui, pour ceux qui passent par là :
http://www.tripadvisor.fr/Attraction_Re ... arana.html
Aussi, mon rapport avec les dites bestioles est-il probablement très différent du vôtre ; ces oiseaux, je les connais plus dehors dans leur milieu naturel ou mon manguier que derrière les barreaux en Europe. Néanmoins et comme nous avons un pied à terre pas très loin du Mato Grosso du Sud (Bonito, "trou des aras", etc.), il n’est pas si rare de trouver des espèces dont la détention est interdite plus ou moins détenues … chose difficile à établir par la police « ambiantale ». Il y a aussi toutes les espèces communes (maritacas par ex, je ne connais pas leur nom scientifique), le retour des « araras azul » (ara hyacinthe) et toucans depuis qu’ils sont de moins en moins tirés pour le fun.
En France et région parisienne, nous ambitionnons de remonter une petite volière extérieure. Et comptons sur l’aide des uns et des autres pour s’adapter à des problématiques locales que nous ne connaissons pas tellement.
Voilà , voilà .

Alors :
J’ai la quarantaine et ai toujours été entouré de toutes sortes de bestioles aussi loin que je me souvienne … entre autres, d’avoir ramené une oie du Périgord vers 7-8ans qui faisait un tabac lors de la pause abreuvage sur les stations d’autoroute. J’ai hébergé aussi un gris du Gabon une quinzaine d’années, mort d’infarctus. Divers autres bec crochus ... les oiseaux, c’était plutôt le truc des parents. Mais mon hobby à moi, ce fut longtemps et surtout l’aquariophilie.
Marié par la suite à une vétérinaire brésilienne ayant travaillé dans le milieu avicole, il m’est toutefois difficile d’échapper aux psittacidés. Pour la raison qu’on en a chez nous (au Brésil), et des collègues travaillant avec dans le cadre de programmes fédéraux de protection/réintroduction. Un beau parc-expo accessible, lui, pour ceux qui passent par là :
http://www.tripadvisor.fr/Attraction_Re ... arana.html
Aussi, mon rapport avec les dites bestioles est-il probablement très différent du vôtre ; ces oiseaux, je les connais plus dehors dans leur milieu naturel ou mon manguier que derrière les barreaux en Europe. Néanmoins et comme nous avons un pied à terre pas très loin du Mato Grosso du Sud (Bonito, "trou des aras", etc.), il n’est pas si rare de trouver des espèces dont la détention est interdite plus ou moins détenues … chose difficile à établir par la police « ambiantale ». Il y a aussi toutes les espèces communes (maritacas par ex, je ne connais pas leur nom scientifique), le retour des « araras azul » (ara hyacinthe) et toucans depuis qu’ils sont de moins en moins tirés pour le fun.
En France et région parisienne, nous ambitionnons de remonter une petite volière extérieure. Et comptons sur l’aide des uns et des autres pour s’adapter à des problématiques locales que nous ne connaissons pas tellement.
Voilà , voilà .