Nos volières

Bonjour.

Ok Fabst, c'est effectivement possible, mais comme je te dis que j'ai pu observé et avoir des commentaires sur les deux cas je préfère rester méfiant pour l'instant.

Je n'ai pas la prétention de me décrire comme "spécialiste du padda", j'ai des connaissances sur cet oiseau mais encore beaucoup à  apprendre dessus ;).
Si vous saviez le nombre de combinaisons de mutations et les nouveautés qu'il existe chez cet oiseau... il nous réserve plein de surprises.
En mutations simple nous avons :

Opale (récessif)
phaéo (récessif)
topaze (récessif)
Pastel (lié au sexe)
Agate (récessif)
Panaché et blanc yeux noirs (co dominant ? dominant?)
Le panaché peut être présent sur toutes les mutations et l'on peut obtenir des blancs yeux rouges (phaéo panaché).

Combinaisons existantes :

Opale phaéo
Opale phaéo pastel
Opale pastel
Phaéo pastel
Agate pastel
Agate topaze
Opale topaze
Agate topaze pastel

Autres :

Tête noire
Tête blanche
Ino
masqué



Thomas, merci ! certains sont encore juste en taille, mais ca va venir je ne m'en fait pas.
Pour les blancs, c'est vrai que ca pète bien, mais je peux pas tout faire (pour le moment ! ^^ ).

Je te remercie pour toute ces explications, je connait pas le masqué jamais entendu parler et ino je savai pas que sa exister chez cet espéce merci et encore bravo pour tes oiseaux magnifique.

Alors c'est assez compliqué pour ces deux dernières, celles étant apparemment apparues et sélectionnées en Italie.
Je tacherai de refaire certaines photos de paddas.

Pour vous montrer un peu des photos de jeunes au nid, et comparer des jeunes opales, pastel et type sauvage voici quelques photos :

N'hésitez pas si vous avez des questions.

Et à  la sortie du nid cela nous donne les photos suivantes !

Nous avons donc ici 3 jeunes paddas.

Le type sauvage est le plus foncé, ensuite plus clair, pastel (dilution de l'eumélanine d'environ 25%) et ensuite l'opale (dilution à  50%) .

Des photos à  l'état adulte prochainement, les oiseaux sont en pleine mue.

Tu as vraiment de trés beaux oiseaux.
J'en suis jaloux
Les paddas sont introuvables vers chez moi.

Merci pour eux.

Tu dois pouvoir en trouver, après tout dépend de ce que tu recherches, simple élevage de passion ou en plus de ca, concours ect.....et là  effectivement il faut les trouver ces éleveurs.

Plus pour le plaisir mais par içi on trouve que du classique et des panachés et encore ils deviennent trés trés rare.
A notre derniére expo, juste un couple sur 600 oiseaux et lors d'une foire le mois dernier pas un seul.

Sauf erreur, championnat de France à  PALAVAS : 1 classique
Championnat du monde à  TOURS, 2 du type sauvage pour les eleveurs français. C'est vraiment en oiseau en voie de disparition chez nous, à  part les mutants ou les impurs.

Exact !
Le seul championnat en france ou l'on voit le plus de type sauvage est celui du gte.
J'essaie de travailler du type sauvage le plus pure possible à  coté des mutants mais j'ai encore des surprises, je pense qu'on en arrive au même niveau que le mandarin pour la pureté des sujets.

Il y a pourtant des éleveurs de type sauvage, mais avec cet oiseau en concours on retrouve souvent les anotations suivantes sur les fiches de jugement : padda trop léger, pas assez grand ...
On arrive à  une course à  la taille et perso je n'ai pas envie qu'on en arrive au même point que certaines petites poules (mandarins).

Effectivement, pour les annotations, j'ai vu cela assez souvent. C'est un oiseau qui doit présenter force et puissance.
Il y a la taille qui est à  surveiller certes, mais je penses que les oiseaux qui vont en concours sont trop stréssés, pas assez préparés surtout, du coup, il se "rapetisse" sur leur barreau et semblent tout petit.
Quand à  avoir des sujets purs, il est évident que c'est devenu extrênement rare. Chez les gould, on trouve des phénotypes sauvages mais en génotype, cela devient un autre problème.

Oui c'est vrai aussi pour le stress et la préparation.
Ils sont dur à  bien maintenir en cage d'expo.... perso j'essaie de les isoler un bon mois et demi avant les premiers concours mais il faut faire attention les premiers jours car les plumes de queue se perdent vite tout comme les ongles....

Allant tout les ans au GTE je ne pensais pas que le padda se faisait si rare, il va bientôt rejoindre le bec d'argent...

nuage a écrit :Allant tout les ans au GTE je ne pensais pas que le padda se faisait si rare, il va bientôt rejoindre le bec d'argent...

En classique ?

Oui en classique au GTE enfin en phénotype sauvage il y en a pas mal.

8 ts pour un total de 24 donc 1/3 de sauvages en 2011

22 ts pour un total de 48 soit près de 50% en 2010

Espérons un meilleur chiffre pour 2012 !

Espérons que les éleveurs qui ne sont pas venu en 2011 viennent surtout

Oui et des nouveaux...enfin on verra de toute facon.
Si tout ce passe bien, j'aurai peut être, type sauvage, opale phaéo, opale, pastel à  voir !

J'y compte bien mec !!!

Bonsoir.

Quelques photos des jeunes actuellement en mue, celle ci arrive à  sa fin et c'est tant mieux car beaucoup ne ressemblent plus à  rien à  cette époque.

En premier, un type sauvage, sans doute un male, le dessin du liseré à  l'air bien présent (important chez les paddas et encore plus sur les type sauvage).
Il manque encore un peu de taille, mais la forme est bonne.

L'autre oiseau du dessous est un mâle opale / pastel.
Il présente une bonne couleur de queue (bien gris foncé) et la calotte semble se colorer de la même facon.C'est important chez ces oiseaux ! il doit toujours y avoir un contraste tête dos queue et en concours cela peut faire la différence.
En effet, un oiseau de mutation opale (comme celui du haut) peut être très bon en couleur de dos (très gris intense) et perdre des points car la tête et la queue ne sont pas assez en contraste avec le dos.
A la limite, et de ce que j'ai pu voir, il vaut mieux avoir un oiseau clair de dos avec une calotte et une queue très foncée !
Bien faire attention à  la couleur du ventre qui doit être crème rosé et non blanc !

Je reposterai une photo de cet oiseau quand il aura terminé sa mue.

En dernière photo, vous pouvez voir deux mâles de mutation opale tenus en main.
Regardez bien la calotte grise foncée, contrastant avec le dos, la queue manque par contre un peu d'intensité par rapport à  la tête.