Re: Colibri à gorge Rubis - Une micro passion -
Pour votre savoir
En 1986-87, (sauf erreur), le parc de Villars les Dombes possédait déjà au moins trois volières avec des colibris.
J'étudiais déjà ces oiseaux à cette époque et j'ai longuement observé ceux qui étaient détenus.
A mon humble conviction, il n'y a pas eu de défaut dans la nourriture mais un problème de voisinage avec les oiseaux (entre eux) que les soigneurs de l'époque ne maitrisaient pas.
Plus tard, le parc de beauval avait acclimaté quelques couples dans sa grande volière où j'ai réussi à photographier deux jeunes (à un an d'écart) qui parvenait au sevrage. Malgré le volume de la serre, il n'y avait pas place pour deux mâles... J'ai effectué de nombreuses visites dans ce parc et notamment cette grande volière car je détenais à cette période, mes premiers spécimens.
Le nourrissage est très facile et peu onéreux. Trouver des oiseaux de cette espèce est très difficile et la détention de plusieurs spécimens est particulièrement difficile . Comme déjà expliqué, les oiseaux (notamment les mâles), ne doivent pas se voir lors des périodes de reproduction, d'où la nécessité d'un voilage entre les volières.
Attention, cela est vrai pour le Rubis par exemple, mais ne l'est peut-être pas pour d'autres variétés . Même l'expérience ne peut encore confirmer la docilité ou agressivité des toutes ces espèces d'oiseaux
Quant à la reproduction, il ne faut pas oublier que le mâle parade en hauteur par des voltiges et se fend sur la femelle qui l'observe du bas. Là est la principale difficulté mais réalisable toutefoiis avec des hauteurs moindre.
En 1986-87, (sauf erreur), le parc de Villars les Dombes possédait déjà au moins trois volières avec des colibris.
J'étudiais déjà ces oiseaux à cette époque et j'ai longuement observé ceux qui étaient détenus.
A mon humble conviction, il n'y a pas eu de défaut dans la nourriture mais un problème de voisinage avec les oiseaux (entre eux) que les soigneurs de l'époque ne maitrisaient pas.
Plus tard, le parc de beauval avait acclimaté quelques couples dans sa grande volière où j'ai réussi à photographier deux jeunes (à un an d'écart) qui parvenait au sevrage. Malgré le volume de la serre, il n'y avait pas place pour deux mâles... J'ai effectué de nombreuses visites dans ce parc et notamment cette grande volière car je détenais à cette période, mes premiers spécimens.
Le nourrissage est très facile et peu onéreux. Trouver des oiseaux de cette espèce est très difficile et la détention de plusieurs spécimens est particulièrement difficile . Comme déjà expliqué, les oiseaux (notamment les mâles), ne doivent pas se voir lors des périodes de reproduction, d'où la nécessité d'un voilage entre les volières.
Attention, cela est vrai pour le Rubis par exemple, mais ne l'est peut-être pas pour d'autres variétés . Même l'expérience ne peut encore confirmer la docilité ou agressivité des toutes ces espèces d'oiseaux
Quant à la reproduction, il ne faut pas oublier que le mâle parade en hauteur par des voltiges et se fend sur la femelle qui l'observe du bas. Là est la principale difficulté mais réalisable toutefoiis avec des hauteurs moindre.