viewtopic.php?f=27&t=25029&p=245888&hil ... ie#p245888
bruno09 a écrit:
malgré la constance des conseils éclairés qui mettent en garde contre cette pratique
Je ne sais si ils sont constants, mais je doute que nombreux soient ceux qui sont éclairés.
Au mieux, on répète ce qu'on a lu ou entendu, répétition orale ou dans les faits, avec les sacros saints "couloirs" ou boxes de repro, avec des oiseaux alignés par 2 …
Depuis trés longtemps, des éleveurs que l'on peut qualifier de nombreux, même s'ils sont ultra minoritaires, détiennent des psittacidés en volières communautaires, que ce soit en colonies spécifiques, ou inter-spécifiques.
Certains 12 mois sur 12, d'autres hors repro (sans nids et pendant quelques mois avant un retour à une volière de couple), d'autres encore avec des volières de couples accolées à la volière communautaire et où l'accés à celle-ci est "tournant" (trappes).
bruno09 a écrit:
A la lecture des nombreux "posts" sur ce sujet, il semble que la période " gore" est la période de reproduction.
Si il y avait une période "gore", qu'elles soit de repro ou pas, ils en seraient revenus (con, mais pas trop !). Au contraire, il doit y avoir des avantages, non ?
-Formation de couples (jeunes bien sûr, mais adultes aussi)
-Renforcement de couples (certains couples reproduisent aprés un passage en volière communautaire, aprés n'avoir rien fait pendant des années)
-Stimulation à la repro (idem que ci-dessus avec exemple ET concurrence)
-Communication (quasiment toutes les espèces de psittacidés vivent en bandes hors repro … et certains pendant la repro aussi)
-Bien être/forme physique (par définition, une volière communautaire sera bien plus grande, et les oiseaux pourront véritablement voler, et bénéficier de pluie/soleil/jeux/bains … pas toujours présents dans les fameux couloirs et boxes)
-Agressivité (paradoxalement pour certains, des oiseaux belliqueux avec leurs partenaires, ne le sont plus, ou moins, en communauté … )
bruno09 a écrit:
Je ne voudrais pas lancer de polémiques sur l'éthique de l'élevage et la nécessité de faire reproduire nos oiseaux
Si on veut parler d'Ethique, les paramètres ci-dessus énoncés ne doivent être occultés.
Sur la NECESSITE de faire reproduire, à part un impératif de rentabilité pour certains, les espèces ENDANGERED sont loin d'être la majorité (chez la plupart des éleveurs). Et quand bien même, ces fameux "pas éclairés" ont quand même réussi à reproduire des oiseaux trés rares dans CES conditions communautaires (Sissen, Loro, Al Wabra, Murphy, Rostan …). Enfin, certaines espèces quasiment jamais vu en captivité, sont comme par hasard des oiseaux observés in situ comme coopérant à plusieurs pour l'élevage des jeunes …
"L'Elevage par 2", à la base, correspond à un désir de sélection, de travail de mutations ou de types/lignées, c'est à dire une orientation Concours ou oiseaux "domestiques". Je ne dis pas que cet élevage est sans éthique (mais ce n'est pas mon truc), mais il ne se permet pas la prise en compte des paramètres cités … ou alors périodiquement (hors repro) … et là j'adhère.
bruno09 a écrit:
mais j'aimerai poser une question naïve :
Est-il possible d'avoir une volière communautaire peuplée UNIQUEMENT des femelles des différentes espèces, ( et éventuellement une autre volière uniquement peuplée de mâles ?)?
Quelqu'un a-t-il déjà essayé ce type de cohabitation ?
Pourquoi pas ? S'il n'y avait eu le préambule, j'aurai dit "drôle de question" …
Mais dans les mêmes conditions qu'en couple: contrairement à certains ragots qui parlent d'économies pour désigner les motivations des volières communautaires qu'ils dénoncent sans savoir, une colonie devra être logée dans beaucoup plus grand qu'un ratio habituel m2/couple. Car la clef est là : pas de surpopulation, des aménagemements permettant l'isolement, des perchoirs nombreux, des nids à la pelle, des abris vastes, des points de nourrissage multiples … Et la problématique est la même pour des volières unisexes, une volière communautaire ne se fait pas sur un coup de tête, à l'économie ou par défaut. Elle requiert un équilibre qui par définition peut-être instable, donc à surveiller au quotidien.
Le choix des espèces, notamment par rapport à leurs habitudes alimentaires ou à leurs territorialités, est un paramètre connu. Mais le cas de l'individu "fouteur de merde" existe aussi !
Mais à nouveau, dans la nature, quasiment tous les psittacidés sont des oiseaux grégaires …
viewtopic.php?f=40&t=25397&p=250278&hil ... ie#p250278
Va falloir que tu viennes te ballader avec moi Patrick
Pas pour voir les miens vu qu'ils ne sont pas "reproducteurs", et je ne t'enmenerai pas non plus chez le Cheikh pour voir les Spix, mais beaucoup pratiquent la volière commune pour les Aras (surtout les grands), dans beaucoup d'élevages en Europe. H. Sissen a sûrement été le précurseur à la fin du siècle dernier, avec sa mégavolière-terrain de foot où il a reproduit quasiment toutes les espèces (200 rubrogenys et 150 glaucogularis), chaque couple étant isolé dans sa "cellule" (4x2 adajacentes et avec nids) au moment opportun. JPC fait la même chose dans des proportions moindres, mais avec des installations magnifiques qui évitent d'attraper les oiseaux d'un cycle à l'autre. Mon pote Florent aussi pratique depuis quelques années les volières communes hors-repro, et est aussi en train d'optimiser ses installations.
La "captivisation traditionnelle" et l'image populaire ne fait pas beaucoup de place à ces "méthodes". Pourtant, les cas de réussite sont nombreux (pas qu'en Aras: USA J.Murphy, 5 generations d'autumnalis et de finshi, Bresil Rostan, Amazona rodocorytha, Espagne Loro Parque Amazona rodocorytha, pionopsitas, graydidascalus …) Et si la place et les moyens sont certainement un frein compréhensible, difficile de nier que cette forme de détention se rapproche pas mal de ce qui semble être des besoins de ces oiseaux, grégaires, joueurs, avec une grande aptitude à la communication.
Et pour beaucoup d'espèces, si on se place du point de vue de la reproduction, la colonie est véritablement un facteur stimulant. Difficile à établir au vu des dimensions et aménagements à faire dans une seule et même volière toute l'année, mais avec alternance de volière repro et volière communautaire, cycle repro et cycle repos …
PJ: un p'tit article de Flo, qui a déjà 10 ans, mais dont je partage bien les idées.
Fichiers joints:
Respect de comportement.pdf [15.42 Kio]
viewtopic.php?f=25&t=25424&p=250288&hil ... ie#p250288
Annexe IIB classée grande perruche.
L'élevage en colonie fonctionne bien chez la plupart des éleveurs qui la pratiquent, toujours dans des volumes adéquats. Difficulté d'assurer la généalogie car les couples semblent peu fidèles, attention donc aussi à rester sur du monospécifique car les Aratinga solstitialis s'hybrident trés facilement avec les autres espèces du groupe :jendaya, auricapilla et pintoi.
viewtopic.php?f=25&t=26484&hilit=colonie
Re: kakariki en colonie?
Salut.
Chez moi (donc ce n'est pas une généralité) ça marche avec 4 couples dans 6x2m … 2-3 nids de plus que de couples, au moins 2 points de nourrissage séparés.
Attention, introduction SIMULTANÉE … Attends donc de trouver ta femelle manquante si tu comptes passer les 3 couples ensemble à terme. Même à 24h d'écart, elle pourrait ne pas être acceptée !
…
Chaque cas est différent …
Tes dimensions me paraissent également bien justes. Aprés tout dépend des individus, de l'aménagement de la volière (de nombreux branchages épais et touffus apportent terrains de jeux et replis en cas de poursuites) et de ta lecture des comportements. Une observation stricte, attentive et minutieuse est essentielle dans toute volière communautaire, au début … comme aprés !
…
kkto a écrit:
la mise en couple est toujours la meilleure des solutions pour les psittacidés, cela évite bien des problèmes
Bien sûr, parles-en au Loro Parque, à Harry Sissen, à Eb Cravens, à Jim Murphy, à Rostan … tous à la base de quasiment toutes nos souches captives.
Le "couloir de repro", ou le box, spécialement formatés aux résultats de repro, "sans problèmes". Et aprés on crache sur l'EAM ou l'incubation artificielle, en mettant des oiseaux par deux, juste pour espérer qu'ils ne passeront pas leur temps à autre chose que de faire rentrer les spermatozoïdes dans les ovules …
Désolé, un oiseau ça peut et ça sait faire autre chose …
Les Psittacidés ne vivent pas dans la nature en groupes familiaux, en bandes, en troupeaux dans certains cas, par hasard. Ce sont des oiseaux grégaires, experts et désireux de communication, d'interactions, de jeux …
Tout le monde n'est pas QUE éleveur, à n'attendre qu'à compter les Å“ufs, ou les petits, et se foutre du reste.
Moi, tu peux me qualifier d'utopique ou de ce que tu veux. Effectivement, décrit comme celà , je ne me qualifierai jamais d'éleveur … Mais des Eleveurs avec cette connaissance et ce respect de ce que sont les oiseaux, et qui ont des résultats, il n'y en a pas qu'à l'étranger ou dans les bouquins. En france JPC et FP par exemple aussi pratiquent la volière commune … avec isolement des couples en période de repro. C'est "compatible", efficace (pour l'éleveur compteur de jeunes comme pour l'oiseau) et "sans" problème … enfin, pour celui qui se donne la peine.
Chacun fait selon sa conscience et ses moyens. De là à dire que "le-par couple" est la meilleure des solutions en sous-entendant la seule, raisonnable et responsable …
…
Dominique a écrit:
Salut Raf,
4 couples dans ces dimensions, personnellemnt je n'aurai pas osé mais il est vrai que je n'ai jamais élevé cette espèce.
Je connais ton interet dans le domaine de la vie communautaire de differentes espèces et donc je m'interroge sur l'organisation de cet espace pour obtenir ce résultat ainsi que sur la détermination du nombre de couples à y mettre ( ce que tu as du déterminer au préalable).
Je ne suis pas un scientifique, et donc je "travaille" empiriquement, en m'appuyant sur mon expérience et celles des autres.
Autant la mienne (j'ai fait des "essais" en volières de 25 et 14 m de long) que celles des autres ( comme celle d'Eric avec des querelles). Et comme je l'ai écrit plus haut, il y a des passages obligés (simultanéité d'introduction, aménagement de la volière) et des grosses contraintes (beaucoup de temps d'observation à passer, quotidiennement, bien plus de gamelles, de nids … on est loin de ceux qui parlent de faire des économies), ainsi que des individus difficiles voir impossibles à faire cohabiter. Les grosses caractéristiques des Kaks par rapport à d'autres psittacidés (qui rend leur cohabitation délicate avec d'autres espèces) est leur suractivité (grimpent et volent constamment) et leur côté terrestre (fouisseurs), caractéristiques que peu d'installations leur permettent d'exploiter. Donc un bon espace de vol (pas de saut de perchoir) + des enchevêtrements de branches bien touffues + des branches fraiches à dépiauter régulièrement (de vrais distributeurs de mushing) + une plage de sable + une surface engazonnée + de l'eau de baignade (même en hiver) …
Dominique a écrit:
J'aimerai à cette occasion confirmer les bénéfices que tu cites mais également mettre l'accent, pour les débutants, sur les risques d'une telle technique sans une bonne connaissance des espèces elevées, de la façon dont doit être gérer l'espace et l'invesstissemnt en temps nécessaire au bon suivi de ce microcosme.
Tout à fait ! Et je préfère clôre ma participation à ce sujet sur ces paroles pleines de bon sens, allant dans la même direction que mes mises en garde dans ce même sujet, plutôt que de deviser stérilement avec des pseudo-éleveurs soi-disant EXPÉRIMENTÉS, mais qui cherchent surtout à n'imposer que leur lubies, à diaboliser les pratiques autres …
viewtopic.php?f=27&t=27538&hilit=colonie
Action, sport, conflit, dégâts, réduction en pièces, boucherie, peste, catastrophe, implosion …
Vous avez sûrement raison, car moi, je n'ai jamais essayé, ni vu (avec les psephotus) …
De ceux qui ont répondu (ou d'autres s'ils le souhaitent):
Qui a essayé ?
Qui a vu (directement ou indirectement) ?
Quel est leur comportement (en rapport avec cette associabilité) in situ ?
Quel volume minimum faudrait-il pour tenter une cohabitation entre individus de la même espèce ?
Quel volume minimum faudrait-il pour tenter une cohabitation entre individus d'espèces différentes et de tailles voisines ou inférieures ?
…
Merci à ceux qui ont répondu en amenant quelques éléments d'évaluation de situation, ou même leurs expériences propres. Merci spécial à Nathalie, jamais avare de détails et d'arguments.
Comme dit précédemment, je n'ai pas d'expérience directe ou indirecte de cohabitations de perruches à croupion rouge (bien que j'ai différents souvenir d'en avoir vu …).
Néanmoins, pour répondre à Sylvany, je commence à avoir un peu de recul pour la cohabitation des psittacidés.
Tout d'abord, il est nécessaire de scinder la problématique en deux: le monospécifique (colonie) et l'interspécifique. Et ensuite de préciser que le raisonnement (issu des expériences et observations) ne concerne que les relations entre espèces (sous-espèces, genres, familles …), sans prendre en compte le caractère particulier d'un individu, qui pourra être différent de la moyenne de l'espèce (plus cool, plus chiant), généralement en fonction de son vécu propre et de son âge.
En colonie, il n'y a aucun problème de cohabitation entre individus d'une même espèce. Que des règles.
Quasiment tous les psittacidés sont grégaires (in situ) et tirent force (protection, sentiment de sécurité, recherche alimentaire …) et plaisir (communication, jeux, éducation des jeunes …) d'une vie communautaire … une partie de l'année: dans certaines espèces (sous-espèces), certains couples adultes chercheront à s'isoler (plus ou moins loin) du reste de la colonie pour nidifier, quand d'autres le feront tous ensemble ou en groupes plus réduits (généralement en fonction des ressources alimentaires et surtout de sites de nidification). Aussi, en captivité, la règle essentielle est celle du volume mis à disposition, tempérée de celle de l'agencement (aménagement de zones privatives, autant pour nidifier, que se reposer … ou jouer !).
En communauté multispécifique, deux cas:
Espèces issues du même secteur géographique et cohabitant in situ (quasiment sur les mêmes bases qu'en colonie, l'appariement en moins) et espèces éloignées à très éloignées (différents continents), dont l'humain n'a pas (ou peu) de connaissance sur leur compatibilité/rivalité alimentaire, typologie de nichoirs, rythme d'activité, caractère … en clair, tout ce qui peut être source de conflit ou au contraire, totalement neutre.
Ici aussi, volume et aménagement seront à adapter en fonction de la territorialité (zone de conflit potentiel), et forcément plus importants de par l'absence de traits communs visant ou à la coopération, ou à l'acceptation. De plus, apparaît ici le risque d'hybridation qui doit être géré, c'est à dire rendu impossible: pas de communauté entre deux espèces pouvant donner lieu à un accouplement dont le produit serait fertile (éthique d'élevage).
Donc en théorie, toute communauté captive est possible, elle n'est fonction que de … moyens ! S'il faut 100 m entre deux couples de croupions rouges, il faut une volière de … plus de 100 m de long (ou parfois 50m coupés visuellement, avec 2 points de nourrissage, de jeux, de bains, dortoirs …).
Mais …
D'autres règles issues de l'observation (en pratique donc):
- Au même titre qu'une volière pour 2 oiseaux (1 couple) devient très rapidement leur territoire, une communauté (mono ou interspécifique) devient très vite aussi un équilibre … fragile. Pas forcément instable (certaines espèces ou individus accueilleront très facilement les nouveaux-NÉS, d'autres moins), mais fragile: l'introduction de nouveaux locataires sera quasiment impossible, ou sous très grande surveillance (pas intervention humaine) -> Tous les membres d'une communauté doivent être introduits simultanément, pour que chacun s'octroie la part de territoire disponible.
En exception, on peut citer l'introduction de nouveaux occupants plus gros et non "belliqueux", avec notamment les non-mâtures sexuellement.
Sinon, nouveau lieu, nouvel agencement et réintroduction simultanée de l'ensemble de la nouvelle communauté.
- Une surveillance quotidienne (comme pour les couples détenus seuls …) et une capacité de lecture des comportements et cris: savoir différencier chamailleries et concurrences sans échappatoire. L'accueil de nouveaux arrivants (dans les cadres précédemment énoncés) va faire l'objet au minimum d'intérêt, voir en fonction de la période, de viols de territoires (inconnus des nouveaux) et d'amplification des marques et limites de ceux-ci (territoires), justement pour l'exprimer aux nouveaux.
- Une connaissance des mÅ“urs des espèces détenues, amenant en fonction des saisons ou période une plus grande territorialité. Notamment en phase d'appariement, de nidification, d'incubation, d'élevage … La communauté doit donc être prévue à l'avance comme volière de repro, de repos (hors repro) ou mixte … Et les volières d'appoint correspondantes aussi …
Dans tous les cas, une (ou des en fonction de la taille de la communauté et du nombre d'espèces différentes) volière de "secours" (vides, prêtes à l'emploi) doivent être disponibles.
- Une communauté impose le respect des règles (et conséquences) de dominance (dominé/dominant). L'alimentation en est la première contrainte (éviter suralimentation des uns, sous-alimentation des autres), puis les sites d'abri (intempéries, sécurité, nuit), de nidification (premier choix, par défaut … non-repro) … jusqu'aux traitements (préventifs ou curatifs) qui doivent toucher les cibles et respecter les posologies.
Voilà en gros (et si je n'ai rien oublié … c'est du direct-live et pas du copié-collé).
En face de ces contraintes et règles, beaucoup de joie et bien-être … pour les oiseaux ! Ce qui veut dire qu'en l'absence, il peuvent "s'y faire" … ou pas ! Dans toutes les déclinaisons du fait que ça ne fonctionne pas.
Enfin, et pour conclure vers Sylvany et sa demande particulière (espèces), mon expérience personnelle de communauté interspécifique avec notamment des:
- Inséparables:
* Roseicollis: Echec (à plus ou moins long terme)
* Fisher: Mitigé
* Personatus: Réussite (dans tous les cas)
- Ondulées/anglaises: Mitigé
- Callopsittes: Réussite (dans tous les cas)
Mais moi, en interspécifique adultes mâtures en conditions de repro, la plus petite volière jamais utilisée faisait 6x6x2 + Abri jusqu'à , à ce jour, 24 x 5,5 x 3,5.
Ce n'est évidemment que mon avis … mais aussi mon expérience avec quelques espèces (sous-espèces, genres, familles …) et celles de quelques collègues ou autres passionnés (petits particuliers, éleveurs, grands éleveurs, parcs, français, internationaux …) s'exprimant sur le sujet. Mon intervention n'est ni exhibitionnisme ou pavanage, encore moins provocation, simplement partage d'expérience.