Mal de ponte : oeufs "mous"
2 épisodes de "mal de ponte" chez une femelle Youyou : problème d'oeufs à coquille molle
J'ai une femelle de ans née chez moi. Elle est accouplée avec un mâle de 9 ans non consanguin né également chez moi. Il y a deux ans, j'ai décidé de démarrer la reproduction chez ce jeune couple car j'estimais la femelle suffisamment mature pour générer des oeufs viables sans problème.
J'ai par ailleurs un couple d'importation (parents du jeune mâle) qui reproduit tous les ans en hiver de manière régulière et élève 1 à 2 jeunes sans soucis.
Tout ce petit monde est logé en volières intérieures dans une pièce chauffée à 19°C.
La première année de reproduction du jeune couple s'est soldée par un échec car les coquilles des oeufs n'étaient pas assez solides et les oeufs s'applatissaient sous la femelle pendant la couvaison. Elle les pondait toutefois sans en être trop perturbée (juste légèrement ébouriffée pendant un jour ou deux avant chaque ponte).
La deuxième année, après plusieurs oeufs à coquille molle, un oeuf viable a été généré d'où est sorti un jeune parfaitement formé. Malheureusement, les parents n'ont pas nourri ce bébé qui est mort rapidement.
Cette année, j'avais pris des dispositions pour faire nourrir à la main tout jeune délaissé par ses parents (je précise que mon couple d'import se désintéresse systématiquement du 3ème jeune s'il y en a un).
Mais ma jeune femelle a fait un premier mal de ponte : aggripée à une branche, cloaque enflé, toute ébouriffée et somnolente... j'ai pris la décision de la retirer de la volière avant qu'elle soit trop affaiblie. Je l'ai placée dans une cage infirmerie qui se trouve dans une pièce que l'on peut chauffer à 28-29°C. En une heure, la réaction est spectaculaire : la femelle passe de la positions inquiétante recroquevillée sur le sol de la cage à la position perchée et passe la nuit ainsi. Le lendemain, elle est toujours perchée et ébouriffée et on la voit faire des efforts pour expulser ce qui la gêne. Dans la matinée, l'oeuf mou est pondu et se retrouve en 2 parties sous la cage (cage sans fond) : blanc et jaune légèrement séparés de l'enveloppe molle déchirée. A partir de ce moment, la femelle est en pleine forme, elle piaille, mange et se déplace normalement, n'est plus du tout ébouriffée et bien réveillée.
Samedi dernier elle a reproduit le même scénario à part que cette fois-ci elle était recroquevillée dans le nichoir et très affaiblie. Elle s'est laissée prendre sans résistance et je l'ai une nouvelle fois placée dans la cage infirmerie au chaud. La suite est conforme à la 1ère fois. J'ai commencé à baisser le chauffage dans l'infirmerie. Ce soir, je place la cage infirmerie contre le radiateur de la pièce où se trouvent les volières et demain elle réintègre sa volière et retrouve son mâle.
Cette fois, je vais enlever le nichoir car je ne veux pas qu'elle recommence. Je veux trouver une solution au problème.
Ils sont complémentés tous les jours, en période de reproduction, de Nekton S dilué dans leur eau de boisson. Ils ont à leur disposition un bloc minéral qu'ils semblent grignoter. Leur alimentation est un mélange de graines sèches de marque Versele Laga additionné de fruits et légumes (pommes, carrottes, oranges). Une semaine avant la naissance du 1er bébé, je rajoute à leur ration un mélange de fruits et légumes mixés additionnés de pâtée perroquets protéinée de marque Brunet distribuée fraîche le matin en même temps que l'eau avec le Nekton S. Je rajoute également une portion de maïs mis à tremper le soir et porté à ébullition puis refroidi et rincé le matin.
Que puis-je faire pour éviter ces oeufs mous ?
J'ai une femelle de ans née chez moi. Elle est accouplée avec un mâle de 9 ans non consanguin né également chez moi. Il y a deux ans, j'ai décidé de démarrer la reproduction chez ce jeune couple car j'estimais la femelle suffisamment mature pour générer des oeufs viables sans problème.
J'ai par ailleurs un couple d'importation (parents du jeune mâle) qui reproduit tous les ans en hiver de manière régulière et élève 1 à 2 jeunes sans soucis.
Tout ce petit monde est logé en volières intérieures dans une pièce chauffée à 19°C.
La première année de reproduction du jeune couple s'est soldée par un échec car les coquilles des oeufs n'étaient pas assez solides et les oeufs s'applatissaient sous la femelle pendant la couvaison. Elle les pondait toutefois sans en être trop perturbée (juste légèrement ébouriffée pendant un jour ou deux avant chaque ponte).
La deuxième année, après plusieurs oeufs à coquille molle, un oeuf viable a été généré d'où est sorti un jeune parfaitement formé. Malheureusement, les parents n'ont pas nourri ce bébé qui est mort rapidement.
Cette année, j'avais pris des dispositions pour faire nourrir à la main tout jeune délaissé par ses parents (je précise que mon couple d'import se désintéresse systématiquement du 3ème jeune s'il y en a un).
Mais ma jeune femelle a fait un premier mal de ponte : aggripée à une branche, cloaque enflé, toute ébouriffée et somnolente... j'ai pris la décision de la retirer de la volière avant qu'elle soit trop affaiblie. Je l'ai placée dans une cage infirmerie qui se trouve dans une pièce que l'on peut chauffer à 28-29°C. En une heure, la réaction est spectaculaire : la femelle passe de la positions inquiétante recroquevillée sur le sol de la cage à la position perchée et passe la nuit ainsi. Le lendemain, elle est toujours perchée et ébouriffée et on la voit faire des efforts pour expulser ce qui la gêne. Dans la matinée, l'oeuf mou est pondu et se retrouve en 2 parties sous la cage (cage sans fond) : blanc et jaune légèrement séparés de l'enveloppe molle déchirée. A partir de ce moment, la femelle est en pleine forme, elle piaille, mange et se déplace normalement, n'est plus du tout ébouriffée et bien réveillée.
Samedi dernier elle a reproduit le même scénario à part que cette fois-ci elle était recroquevillée dans le nichoir et très affaiblie. Elle s'est laissée prendre sans résistance et je l'ai une nouvelle fois placée dans la cage infirmerie au chaud. La suite est conforme à la 1ère fois. J'ai commencé à baisser le chauffage dans l'infirmerie. Ce soir, je place la cage infirmerie contre le radiateur de la pièce où se trouvent les volières et demain elle réintègre sa volière et retrouve son mâle.
Cette fois, je vais enlever le nichoir car je ne veux pas qu'elle recommence. Je veux trouver une solution au problème.
Ils sont complémentés tous les jours, en période de reproduction, de Nekton S dilué dans leur eau de boisson. Ils ont à leur disposition un bloc minéral qu'ils semblent grignoter. Leur alimentation est un mélange de graines sèches de marque Versele Laga additionné de fruits et légumes (pommes, carrottes, oranges). Une semaine avant la naissance du 1er bébé, je rajoute à leur ration un mélange de fruits et légumes mixés additionnés de pâtée perroquets protéinée de marque Brunet distribuée fraîche le matin en même temps que l'eau avec le Nekton S. Je rajoute également une portion de maïs mis à tremper le soir et porté à ébullition puis refroidi et rincé le matin.
Que puis-je faire pour éviter ces oeufs mous ?
a vous rendre 
elle s'en approche meme pas!