LA QUALITE DU DIAMANT DE GOULD EN PERDITION
Bien que la taille se trouve un peu réduite dans la moyenne due à des consanguinité, la plume de l'oiseau est en perdition. Reflets bleutés sur le dos, plumes non collés au corps, aspect sombre de l'oiseau ou manque de luminosité, des tas de remarques similaires sur les fiches de jugement.
Cet oiseau est victime de ses belles couleurs, donc convoité par le public et par voie de conséquence par ceux qui trouvent dans cette variété un potentiel financier. Alors, il fait tout et n'importe quoi.
Peut-être aussi la faute au standard qui demandait des filets de queue les plus long possibles.
Ces derniers viennent avec la longueur de la plume dans sa généralité. Il y a eu exploitation des plumes longues.
A ce jour, nous pouvons parler d'oiseaux intensifs et d'oiseaux schimmels. Ce n'est pas logique chez un exotique.
- Le prix de transaction trop élevé de cet oiseau, dont l'élevage est désormais maitrisé, serait-il le principal fautif à cette prolifération de mauvais spécimens ?
- Les nouveaux éleveurs, n'ayant pas connu la période faste de cet oiseau se feraient-ils berner dans le choix de leurs reproducteurs ?
- L'oiseau originel , dans sa splendeur, est-il méconnu des nouveaux passionnés ?