Dans un temps très lointain, l'ail permettait de conjurer les mauvais sorts, de repousser les sorcières, le diable, les voleurs, les malfaisants et les vampires.
Plus tard, vers la première guerre mondiale, il fut découvert les vertus antiseptiques de cette plante qui avait été utilisée pour combattre les gangrènes et soigner les blessures dans les hopitaux.
Aujourd'hui, c'est un véritable antiseptique à large spectre (curatif et préventif) dû à la présence d'Allicine contenue dans l'ail qui intervient sur les gênes pathogènes (bactérie, bacilles, streptocoques...) sans les détruire toutefois. L'Allicine stimule la circulation du sang, permettant ainsi aux plaquettes de se diriger plus aisément sur les plaies.
L'ail permet également de lutter contre les petits empoisonnements provoqués par des absorption de plantes vénéneuses en neutralisant les effets nocifs, mais aussi contre les parasites intestinaux.
L'ail renferme des vitamines A et B, des sels alcalins, des acides aminés riches en soufre, et surtout de l'huile volatile.
L'ail peut être mélangée dans l'alimentation comme le pratique Eric29, ou être introduite par petite quantité dans l'eau de boisson où elle traite à la fois l'eau et celui qui l'ingurgite.
Une trop forte consommation d'ail provoque des brûlures d'estomac mais a eu été considérée comme aphrodisiaque.
L'oignon possède à peu prés les mêmes vertus. Personnellement, par habitude certainement, je n'utilise jamais l'ail, mais l'oignon. Un petit cube dans l'abreuvoir des oiseaux pendant quelques jours lors des retours de concours ou des rentrées d'oiseaux en quarantaine. Je ne sais si c'est vraiment important, je crois que c'est plus une habitude qui m'a été transmises par mon ou mes "mentors". Et tout cas, l'oignon me permet , à coup sûr, de sortir mon mouchoir de temps en temps
